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La prière a été totalement absente de ma vie jusqu'à mes 27 ans. J'ai entendu le mot quelques fois prononcé par ma chère grand-mère, elle disait s'adresser à Jésus et Marie, nous nous moquions malheureusement.
Je ne pouvais imaginer que mes pensées puissent aller plus loin que ma tête.
Je ne pouvais entrevoir que mes mots puissent être entendus par un monde invisible à mes yeux.
Je ne pouvais espérer avoir en moi une force créatrice.
Tout simplement, le concept du divin m'était étranger.
À présent, je prie dès que je me réveille, je prie quand je m'endors, je prie quand je mange, je prie des que j'y pense !
Je prie la mère divine, le père céleste, Jésus, Marie, des maîtres, des anges, mes guides.
Je prie ma présence divine.
Je prie pour moi, mes proches, l'humanité, les animaux, la Terre.
Je prie pour gagner en pureté, en bonté, en amour, en sagesse, en justesse.
Je prie pour servir le divin, sans projection, sans attente.
Je prie pour la paix, la vérité, la liberté, la lumière sur Terre.
Je m'unis à ceux qui prient pour toutes ces choses là.
Je m'unis à toutes les mères qui prient pour la santé et le bonheur de leurs enfants.
J'ai foi d'être entendue.
J'ai foi en la lumière et ceux qui nous aident.
Que la prière soit en chacune de nos pensées, dans nos paroles et nos gestes.
Que la prière soit une manière de vivre.

Un enfant tape ou dit des mots vulgaires, il agite un drapeau pour nous appeler à l'aide.
Il est submergé par des tensions en lui.
Il a besoin de les faire sortir en sécurité avec un adulte empathique à son écoute.
Ensuite, coopération et joie reviendront.
Quand nous sommes face à la violence exprimée par un enfant, nous pouvons réagir de différentes manières inadaptées empreintes de nos propres blessures et fonction des masques sue nous avons adoptés.
Si l'on souhaite ne pas être autoritaire et que nous avons une compréhension erronée de l'éducation bienveillante, nous cherchons avant tout à ne pas soumettre l'enfant et le laissons répéter à plusieurs reprises la situation car nos distractions ne fonctionnent qu'un temps.
Si nous sommes nous-mêmes agacé face à sa violence, nous entrons dans nos vieux schémas et nous jugeons, punissons, crions, excluons pis sommes pris de remords et nous confondons en excuses.
Il existe une troisième voie.
L'enfant à besoin que nous répondons avec justesse, clarté et douceur afin qu'il puisse se libérer de ses tensions.
Bien sûr, s'il y a une victime et que nous sommes seul adulte, nous accordons d'abord notre attention à celle-ci, à condition que l'agresseur soir en sécurité et ne puisse trouver une autre victime.
Pour l'enfant qui agresse, il y a plusieurs réponses adaptées, nous choisissons en fonction de son état : le jeu-ecoute, le temps special, mettre et tenir une limite et écouter sa décharge émotionnelle.
Dans tous les cas, c'est l'espace depuis lequel nous répondons qui importe : notre coeur et ce que nous cherchons à rétablir entre l'enfant et nous: la connexion.
Ces outils sont décrits par Party Wipfler.
J'ai publié des vidéos pour les présenter sur ma chaîne YouTube Emilie Roudier.
Je détaillerai dans un prochain post comment je réponds aux grossièretés de mon fils de 7 ans.

Si je ne me réveille pas bien reposé.e, je peux explorer la piste des nuisances électriques.
Je débranche tout appareil électrique dans la chambre (et de l'autre côté des cloisons) pendant la nuit, éteindre ne suffit pas, un champ subsiste.
Je retire les rallonges à proximité du lit.
Je me sépare du radio réveil.
Si possible, je ne dors pas avec des prises à moins de 50cm de ma tête.
Pour aller plus loin, je coupe le circuit électrique de la chambre au tableau électrique.
Si je construis ou rénove, je fais blinder l'installation, surtout dans une maison en bois.
Si le compteur est un linky, j'installe un filtre.
Si je souhaite mesurer l'impact de l'électricité sur moi pendant mon sommeil, j'utilise un voltmètre pour mesurer la tension induite.
Je peux couper le courant pendant quelques semaines pour sentir si cela fait une différence.
Les nuisances électriques sont rarement les seules responsables d'un mauvais sommeil mais peuvent amplement y contribuer.
Ce post concerne le 50hertz, pas les hautes fréquences.

Les musiques qui élèvent nous permettent de retourner à l'intérieur de nous, plus profondément, dans notre cœur, dans notre ventre.
Les musiques qui élèvent augmentent la vibration de la maison.
Les musiques qui élèvent mettent nos corps en mouvement dans une danse souple, libre et spontanée.
Les musiques qui élèvent nous emmènent en voyage méditatif dans les mondes subtils.
Celles que j'écoute en ce moment sont les chants sacrés bulgares et la musique de Peter Deunov (chaîne YT projets idéal ), les albums d Ajeet Kaur, de la musique classique. Et vous ?