Le sommeil
Bonne nuit !
Commençons par les conditions matérielles pour un bon sommeil, des petits, comme des grands. D’ailleurs des grands bien reposés sont tellement mieux disposés à accompagner les petits.
D’abord ne pas nuire.
Il ne s’agit pas de tomber dans la parano mais d’offrir à nos enfants (et à nous mêmes) des conditions « saines » de sommeil.
Si vous vous munissez de « volonté » et « simplicité », voici quelques pistes :
Éviter les pollutions électromagnétiques :
- Éteindre de wifi dans la maison, encore mieux ne jamais l’allumer.
- Éteindre de DECT (téléphone sans fil) dans la maison, encore mieux ne pas en avoir sans technologie « full eco », il s’agit de la plus grande nuisance électromagnétique de la maison.
- Apporter le radio-réveil à la déchetterie.
- Placer la tête de lit à plus d’un mètre de toute prise électrique, même si rien n’est branché dessus.
- Pas d’écran dans la chambre.
- Si construction ou rénovation, penser câble blindé, bio-rupteur.
et aériennes :
- Avoir un matelas et un oreiller en matière naturelle (laine, latex 100% naturel, coco…).
- Avoir des meubles sans colle, non émissifs de COV.
- S’abstenir de tous produits chimiques et encens, bougies, huiles essentielles (he de lavande et de tea tree = perturbateurs endocriniens), même et surtout ceux qui sentent bons.
- Avoir des fenêtres sans COV, surtout pas de PVC mais alu ou bois de qualité.
- Éviter la présence de plastiques, autres que les numéros 2,4 et 5, qui contiennent des perturbateurs endocriniens.
- Aérer chaque jour.
Ça fait déjà un bon ménage à faire !
Dans l’idéal la chambre est très sobre.
Le feng shui ajoute quelques recommandations comme d'éviter la tête à l’ouest (personne n’aime y être !), pas de miroir qui reflète le lit, pas de lit dans un passage d’air entre portes et/ou fenêtres, pas de couleur yang comme le rouge, l'orange, le jaune.
Pour continuer sur les conditions d’un bon sommeil, quelle journée a passé votre enfant ?
A-t-il reçu suffisamment d’amour que ce soit sous forme de câlins, de bisous, de mots doux, de massages, de moments de complicité (un temps de jeu par exemple) ?
S’est-il suffisamment dépensé physiquement ? A-t-il pu jouer librement dehors ? au contact de la nature ?
A-t-il pu exprimer ses sentiments, ses émotions ?
A-t-il eu des occasions de vivre ce qui le nourrit, l’intéresse en ce moment ? que ce soit jouer avec d ‘autres, peindre, construire… ?